Extraits de l'interview (durée totale 4 minutes ) :
« La constitutionnalisation du droit pénal touche à l’équilibre qui doit être trouvé entre les besoins de la répression et la protection des droits et des libertés des hommes. »
« Le mouvement de constitutionnalisation du droit pénal d’explique, à mon sens, par une volonté générale de promouvoir et de respecter les droits de l’homme. »
« Le Conseil constitutionnel est évidemment l’acteur principal de ce mouvement mais il ne faut pas négliger le rôle de l’autorité normative – le législateur – et des juridictions répressives. »
« L’emprise de la Constitution sur le droit pénal est telle, qu’à mon sens, le droit pénal ne peut plus être compris, ne peut plus appliqué, ne peut même plus être étudié sans une référence constante à la Constitution. »
Ministère de la Justice - DICOM - Damien ARNAUD
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